dimanche 21 juillet 2013

Orgueil et Préjugés

Orgueil et Préjugés

Jane Austen

Le sujet (éditeur)

Elisabeth Bennet a quatre soeurs et une mère qui ne songe qu'à les marier.
Quand parvient la nouvelle de l'installation à Netherfield, le domaine voisin, de Mr Bingley, célibataire et beau parti, toutes les dames des alentours sont en émoi, d'autant plus qu'il est accompagné de son ami Mr Darcy, un jeune et riche aristocrate. Les préparatifs du prochain bal occupent tous les esprits... Jane Austen peint avec ce qu'il faut d'ironie les turbulences du coeur des jeunes filles et, aujourd'hui comme hier, on s'indigne avec l'orgeuilleuse Elisabeth, puis on ouvre les yeux sur les voies détournées qu'emprunte l'amour...


Mon impression

J'aime... passionément à la folie!

Waw, quelle claque!
Moi et les classiques ça fait deux! Voire peut être même trois!
Et bien que j'ai déjà vu le film avec le magnifique Colin Firth ainsi que la version adaptée de Bollywood, j'ai dévoré ce livre en quelques heures, c'est une merveille.
Quel suspens (même si je connaissais déjà la fin!), l'écriture est belle, c'est un vrai régal.
A mettre entre toutes les mains des romantiques comme moi!

samedi 20 juillet 2013

Le diable vit à la campagne

Le diable vit à la campagne

Rachel Johnson


Le sujet (éditeur)

Mimi et Ralph ont vendu leur maison de Colville Crescent et se sont installés avec chien et enfants dans une ferme ancienne : pierres blondes, glycines centenaires, fenêtres à meneaux. Le bonheur dans le pré ? Pas vraiment. Entre la vieille gentry locale et les néoruraux, la guerre fait rage. Au-delà des haies, il y a autant de coteries et d'intrigues qu'à Notting Hill. Et tout autant de potins. Mimi et Rose, sa nouvelle meilleure amie, tiennent la chronique des événements à tour de rôle. Entourloupe à l'éolienne, bagatelles extraconjugales, scandale aux produits bio, rivalités des clans abondent et on découvre que le retour à la nature est beaucoup mieux en rêve que dans la réalité. Pour cette suite du Diable vit à Notting Hill, Rachel Johnson, en pleine possession de son humour anglais, réussit une nouvelle campagne.

Mon impression

J'aime... pas du tout!

Enfin!
Je suis parvenue à terminer cette horreur et je vais enfin pouvoir passer à autre chose. Il est rare que je me force à finir un livre de la sorte.

L'histoire est nulle, sais intérêt aucun, c'est très mal écrit, et très mal traduit (donc 2 couches de mauvais français), on est complètement perdus avec tous les personnages (bien que listés et décrit en début de livre, ouf!). Bref un échec total. Mais le pire dans l'affaire c'est que le livre fait près de 400 pages...
Je vous laisse imaginer l'agonie dans laquelle j'ai été!
Fuyez de toute urgence!

samedi 6 juillet 2013

Gatsby le magnifique

Gatsby le magnifique

Francis Scott Fitzgerald

Le Sujet (éditeur)

New York, années folles… Dans sa somptueuse demeure de Long Island, Jay Gatsby organise de fastueuses réceptions où les invités se pressent en foule. Mais leur hôte ne cherche à éblouir qu’une seule personne : Daisy Buchanan. Elle est élégante, riche, séduisante, mais elle est la femme d’un héritier millionnaire… Avec ce texte devenu un classique, Fitzgerald, sur un air de jazz et une coupe de champagne à la main, met à nu le Rêve américain et écrit l’un des plus beaux romans du XXe siècle, ici présenté dans la traduction de référence, par Jacques Tournier.


Mon impression

J'aime... beaucoup

Et de deux...
Il est rare que je relise plusieurs fois un même ouvrage, mais face au tapage médiatique autour du film, je me suis sentie obligée de le relire avant d'aller voir le film.
Bon finalement, suite aux mauvaises critiques, je n'ai pas vu le film.
Mais j'ai quand même relu le livre! Et je n'ai pas boudé mon plaisir!
Contrairement à la plupart des autres lecteurs de Babelio, c'est bien la 1ere partie que je préfère, la seconde me mettant très mal à l'aise.
J'aime ses descriptions précises, cet univers dans lequel on se plonge, on se voit en imagination bien qu'on ne l'ait jamais ne serait-ce qu'approché. Les mots sont justes et vrais.
Cela étant dit, je ne le classerai pas dans la rubrique des chefs d’œuvres où il semble avoir sa place d'après beaucoup de lecteurs.
Je le classe néanmoins dans ma rubrique des intemporels, à lire et à relire à volonté!